c d is the garden at Blois; a b is the conduit of Blois, made in France by Fra Giocondo, b c is what is wanting in the height of that conduit, c d is the height of the garden at Blois, e f is the siphon of the conduit, b c, e f, f g is where the siphon discharges into the river. [Footnote: The tenor of this note (see lines 2 and 3) seems to me to indicate that this passage was not written in France, but was written from oral information. We have no evidence as to when this note may have been written beyond the circumstance that Fra Giocondo the Veronese Architect left France not before the year 1505. The greater part of the magnificent Chateau of Blois has now disappeared. Whether this note was made for a special purpose is uncertain. The original form and extent of the Chateau is shown in Androvet, Les plus excellents Bastiments de France, Paris MDCVII, and it may be observed that there is in the middle of the garden a Pavilion somewhat similar to that shown on Pl. LXXXVIII No. 7.
See S. DE LA SAUSSAYE, Histoire du Chateau de Blois 4ème edition Blois et Paris p. 175: En mariant sa fille aînée à François, comte d’Angouleme, Louis XII lui avait constitue en dot les comtes de Blois, d’Asti, de Coucy, de Montfort, d’Etampes et de Vertus. Une ordonnance de Francois I. lui laissa en 1516 l’administration du comte de Blois.
Le roi fit commencer, dans la meme annee, les travaux de celle belle partie du chateau, connue sous le nom d’aile de Francois I, et dont nous avons donne la description au commencement de ce livre. Nous trouvons en effet, dans les archives du Baron de Foursanvault, une piece qui en fixe parfaitement la date. On y lit: ‘‘Je, Baymon Philippeaux, commis par le Roy a tenir le compte et fair le payement des bastiments, ediffices et reparacions que le dit seigneur fait faire en son chastu de Blois, confesse avoir eu et receu ... la somme de trois mille livres tournois ... le cinquieme jour de juillet, l’an mil cinq cent et seize. P. 24: Les jardins avaient ete decores avec beaucoup de luxe par les differents possesseurs du chateau. Il ne reste de tous les batiments qu’ils y eleverent que ceux des officiers charges de l’administration et de la culture des jardins, et un pavilion carre en pierre et en brique flanque de terrasses a chacun de ses angles. Quoique defigure par des mesures elevees sur les terrasses, cet edifice est tris-digne d’interet par l’originalite du plan, la decoration architecturale et le souvenir d’Anne de Bretagne qui le fit construire. Félibien describes the garden as follows: Le jardin haut etait fort bien dresse par grands compartimens de toutes sortes de figures, avec des allees de meuriers blancs et des palissades de coudriers. Deux grands berceaux de charpenterie separoient toute la longueur et la largeur du jardin, et dans les quatres angles des allees, ou ces berceaux se croissent, il y auoit 4 cabinets, de mesme charpenterie ... Il y a pas longtemps qu’il y auoit dans ce mesme jardin, a l’endroit ou se croissent les allees du milieu, un edifice de figure octogone, de plus de 7 thoises de diametre et de plus de neuf thoises de haut; avec 4 enfoncements en forme de niches dans les 4 angles des allies. Ce bastiment.... esloit de charpente mais d’un extraordinairement bien travaille. On y voyait particulierement la cordiliere qui regnati tout autour en forme de cordon. Car la Reyne affectait de la mettre nonseulement a ses armes et a ses chiffres mais de la faire representer en divers manieres dans tous les ouvrages qu’on lui faisait pour elle ... le bastiment estati couvert en forme de dome qui dans son milieu avait encore un plus petit dome, ou lanterne vitree au-dessus de laquelle estait une figure doree representant Saint Michel. Les deux domes estoient proprement couvert d’ardoise et de plomb dore par dehors; par dedans ils esloient lambrissez d’une menuiserie tres delicate. Au milieu de ce Salon il y avait un grand bassin octogone de marbre blanc, dont toutes les faces estoient enrichies de differentes sculptures, avec les armes et les chiffres du Roy Louis XII et de la Reine Anne, Dans ce bassin il y en avait un autre pose sur un piedestal lequel auoit sept piedz de diametre. Il estait de figure ronde a godrons, avec des masques et d’autres ornements tres scauamment taillez. Du milieu de ce deuxiesme bassin s’y levoit un autre petit piedestal qui portait un troisiesme bassin de trois pieds de diametre, aussy parfaitement bien taille; c’estoit de ce dernier bassin que jallissoit l’eau qui se rependoit en suitte dans les deux autres bassins. Les beaux ouvrages faits d’un marbre esgalement blanc et poli, furent brisez par la pesanteur de tout l’edifice, que les injures de l’air renverserent de fond en comble.]
Taken from The Notebooks of Leonardo da Vinci edited by Jean Paul Richter, 1880.